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   Déconfinement : faut-il surveiller le port du masque par vidéosurveillance ?

Déconfinement : faut-il surveiller le port du masque par vidéosurveillance ?

DÉCONFINEMENT - Plusieurs municipalités envisagent d'utiliser la vidéosurveillance dite "intelligente" pour faire respecter le port du masque et la distanciation sanitaire..

Eviter les lieux trop fréquentés. Respecter les distances de sécurité. Utiliser un masque dans les transports en commun. A quelques jours du déconfinement, prévu le 11 mai prochain, plusieurs municipalités envisagent de faire appel aux nouvelles technologies pour veiller au respect de ces mesures barrières qui doivent permettre de limiter la propagation du virus, notamment dans les lieux publics.

Direction la ville de Cannes, dans les Alpes-Maritimes, où trois marchés expérimentent actuellement un dispositif qui permet de savoir si les visiteurs portent bien leur masque de protection. Personne ne les a comptés, une caméra dotée d'intelligence artificielle (IA) s'en est chargée. Le résultat s'affiche en temps réel sur un écran. "La fréquentation sur le marché de Forville est de 100 personnes toutes les 30 minutes. Ce matin, 70% des visiteurs avaient un masque", explique Xavier Fischer, directeur général de Datakalab, le concepteur du dispositif. 

Cannes expérimente la vidéosurveillance du port du masque

Cannes expérimente la vidéosurveillance du port du masque

La ville entend rendre le masque obligatoire dans les transports en commun après le 11 mai.

« Il en va de notre capacité collective à réussir le déconfinement. » Le maire de Cannes, David Lisnard, a présenté ce mardi 28 avril un dispositif permettant de détecter la proportion de piétons portant un masque, grâce au dispositif de vidéosurveillance. Il s’agit de « les inciter au port du masque », a déclaré l’édile Les Républicains au « Figaro ». Et si besoin de leur en distribuer.

Les caméras ont pour l’instant été installées dans trois marchés extérieurs de la ville. Elles ont permis de constater que dimanche, trois personnes sur quatre (74 %) portaient un masque.

Une surveillance généralisée ?

La ville entend rendre le masque obligatoire à partir du 11 mai, date du début du déconfinement, ce que le gouvernement pourrait trancher dans l’après-midi. Mais David Lisnard compte prendre les devants, et c’est pourquoi la municipalité envisage ainsi de généraliser ce dispositif de vidéosurveillance dans les transports publics. Un premier bus sera ainsi équipé mercredi.

Face aux inquiétudes qui s’élèvent à la perspective d’une surveillance généralisée, l’entreprise prestataire, Datakalab, affirme au « Figaro » que son dispositif est « conforme au règlement général sur la protection des données (RGPD) », qu’il est « anonyme » et qu’il « n’a rien à voir avec la reconnaissance faciale ».

Covid-19 : Vodafone lance une caméra thermique pour accompagner le retour des salariés en entreprise

Covid-19 : Vodafone lance une caméra thermique pour accompagner le retour des salariés en entreprise

L’opérateur télécoms britannique Vodafone propose une caméra thermique connectée en lien avec le spécialiste de la télésurveillance Digital Barriers. Une solution imaginée dans le but de détecter toute personne qui ferait état de fièvre et prévenir la propagation du Covid-19, alors que les employés reprennent peu à peu le chemin de l'entreprise suite au confinement.

Télésurveillance des examens : la CNIL rappelle les règles

Télésurveillance des examens : la CNIL rappelle les règles

Dans le contexte de crise sanitaire liée au Covid-19, certains établissements d’enseignement supérieur souhaitent recourir à des outils numériques de télésurveillance afin d’organiser des examens à distance (voir À l'université, des télé-examens télé-surveillés).

La CNIL a donc décidé de rappeler les règles applicables, dès lors qu'il s'agit de traitements de données personnelles soumis au RGPD et à la loi informatique et libertés, et de proposer des conseils pour les établissements et les étudiants concernés.

Le consentement doit, pour constituer une base légale valable, être notamment libre, c’est-à-dire ni contraint ni influencé (par exemple par la position d’autorité du responsable de traitement). L’étudiant doit notamment se voir offrir un choix réel, sans avoir à subir de conséquences négatives en cas de refus. 

Le responsable du traitement peut cependant, précise la CNIL, procéder à ce type de traitement en s’appuyant sur une autre base légale, comme l’exécution d’une mission d’intérêt public. L’étudiant pourra cela dit et à tout moment s’opposer au traitement, pour des raisons tenant à sa situation particulière qu’il devra exposer.

Dans ce cas, le responsable ne traitera plus ces données, à moins qu’il démontre qu’existent des motifs légitimes et impérieux pour le traitement, qui prévalent sur les intérêts et les droits et libertés de l’étudiant, ou pour la constatation, l’exercice ou la défense de droits en justice.

D'autre part, les données ne devraient être traitées que si la finalité du traitement ne peut être raisonnablement atteinte par d’autres moyens moins intrusifs.

Par exemple, les traitements suivants n’apparaissent pas disproportionnés :

  • la surveillance vidéo en temps réel pendant la durée de l’examen ;
  • la prise de photographies ou de flux vidéo ou sons de manière ponctuelle ou aléatoire.

En revanche, n’apparaissent a priori pas proportionnés au regard de la finalité poursuivie :

  • les dispositifs de surveillance permettant de prendre le contrôle à distance de l’ordinateur personnel de l’étudiant (notamment pour vérifier l’accès aux courriels ou aux réseaux sociaux) ;
  • les dispositifs de surveillance reposant sur des traitements biométriques (exemple : reconnaissance faciale via une webcam).

Par ailleurs, dès lors que le dispositif de télésurveillance est « susceptible d’engendrer un risque élevé pour les droits et libertés des personnes concernées », une analyse d’impact relative à la protection des données (AIPD) doit être réalisée par le responsable de traitement. En particulier, l’utilisation de technologies innovantes (exemples : recours à l’oculométrie (eye tracking), algorithmes et intelligence artificielle) devra faire l’objet d’une telle analyse.

Avoir recours à une solution technique extérieure à l’établissement implique en outre pour le responsable de traitement de respecter les obligations en matière de recours à des sous-traitants et notamment de contractualiser avec eux. 

L'été dope les ventes de caméras de surveillance connectées

L'été dope les ventes de caméras de surveillance connectées

Les fabricants profitent de l'approche des vacances pour lancer leurs nouveautés.

Tandis que les Français préparent leurs vacances, les nouveaux modèles de caméras de surveillance connectées fleurissent. Le marché, en plein essor, espère aussi être porté par la demande des parents curieux du comportement de leurs enfants en leur absence ou des propriétaires d'animaux de compagnie. Aux États-Unis, la tendance a déjà un nom, les «pets cam» (caméra pour animaux), avec ses chaînes YouTube.

Ces usages ont poussé les fabricants à développer certaines fonctionnalités. Ainsi, l'américain Nest, filiale de Google et leader du marché, a amélioré le micro de sa nouvelle Nest Cam IQ, afin que les utilisateurs puissent dialoguer avec leurs enfants ou parler à leur chat. Elle est aussi dotée d'une fonction de reconnaissance faciale, Cet

 

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